Comme directeur pour les membres LGBTQ2+ au Conseil de la région de l’Atlantique de l’AFPC, je me joindrai bientôt à de nombreux autres membres de l’AFPC de la région et du reste du Canada et à des gens un peu partout au monde pour souligner la Journée internationale contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie. Je vous invite à unir votre voix à la mienne pour célébrer notre diversité et promouvoir les droits des LGBTQ2+ en tant que droits de la personne.
Cette journée spéciale est soulignée chaque année le 17 mai au Canada et dans divers autres pays. C’est une importante occasion de faire pression sur les dirigeants et dirigeantes pour la reconnaissance des droits des LGBTQ2+.
Le 17 mai était autrefois appelé la « journée des gais » en Allemagne. On écrivait cette date « 17.5 » en référence à l’article 175 du Code pénal allemand qui criminalisait l’homosexualité. Les homosexuels étaient même appelés les « cent-soixante-quinzièmes »
C’est en 2004 que le 17 mai a été désigné Journée internationale contre l’homophobie, une journée pour réclamer des politiques publiques justes et équitables pour les LGBTQ2+.
Dans plus de 120 pays, on profite du 17 mai pour décrier la violence et la discrimination dont est victime la communauté LGBTQ2+ de par le monde. En effet, des membres de cette communauté continuent d’être victimes d’atrocités encore aujourd’hui un peu partout dans le monde. Dans certains pays, les LGBTQ2+ sont poursuivis en justice, emprisonnés et même tués en raison de leur orientation sexuelle, de leur identité de genre ou de leur expression de genre. Aux États-Unis, l’administration actuellement en place mène la vie dure aux LGBTQ2+, et ses actions ont des répercussions jusqu’au Canada. L’union fait la force : travaillons tous et toutes ensemble pour assurer la sécurité de notre communauté!
En toute solidarité,
Wayne Kelley
Directeur pour les membres LGBTQ2+, AFPC-Atlantique